Salut ! Moi, c'est Caleb Ashton Kavannaugh mais vous pouvez m'appeler Ash. Je suis né à belfast, irlande le dix sept mai 1984, j'ai donc vingt sept ans. Depuis un petit temps déjà, j'ai remarqué que j'avais une préférence pour les les femmes ce qui fait de moi un hétérosexuel. Je vis à Myrtle Beach depuis deux ans et je dois avouer que je trouve la ville plutôt addictive. Sinon, comme tout le monde, il faut faire quelque chose de sa vie, c'est pourquoi je suis éditeur de bouquins. Je fais sans aucun doute partie des city town.
♣ ET TES VOISINS ILS SONT GENTILS ? ♣ mes voisins? je les croise rarement, il faut dire que mon travail me prend la plupart de mon temps et les rares fois ou je croise quelqu'un dans les escaliers notre discussion se résume a un simple bonjour. Je devrais vraiment songer a en savoir un peu plus sur eux.
♣ FAMILLE, MARIAGE, ENFANTS, QU'EN PENSES TU ? ♣ Je vis seul, et ça a toujours été ainsi depuis l'époque ou je côtoyais l'université. J'aime bien avoir mon espace bien a moi, bien qu'a chaque fois que je suis en relation, une copine, on y passe généralement la plupart de notre temps. J'aime bien sortir également mais je préfère de loin mes soirées chez moi. Oui ... étrange.
Spoiler:
behind computer
PSEUDO/PRENOM ϟlullaby.ÂGE ϟdix huit ans.PRESENCE ϟtous les jours pendant les vacances.COMMENTAIRE SUR LE FORUM ϟtrès beau forum.OÙ AS-TU CONNU LE FORUM ϟPRD.PETIT PLUS ϟRAS.
Dernière édition par C. Ashton Kavannaugh le Lun 8 Aoû - 19:38, édité 3 fois
Il était une fois dans un château fort magnifique, une dame fort éblouissante qui venait d'épouser un homme fort sympathique. Elle mit au monde un bébé fort minuscule qu'ils appelèrent Ashton . Un petit garçon fort mignon, qui tenait dans les bras de sa mère en gesticulant dans tous les sens et en regardant autour de lui avec curiosité.Maintenant retransmettez tous cela dans notre monde, il n'y a plus de fort à toutes les phrases, ni de magnifique château, nous sommes en plein Londres dans un hôpital. Malgré cela gardez à l'esprit que pour le reste tous c'est vraiment passé. Car oui la maman de Ashton était magnifique et son père sympathique et le meilleur est qu'ils s'aimaient, à en mourir, à en exploser tellement ils s'aimaient. Ils étaient âgé respectivement de 19 et 22 ans, tous deux adeptes de la « peace and love attitude ». Et Ashton grandit dans cet univers, il grandit dans un immeuble de Belfast, dans quartier où l'on pense qu'on est défavorisé mais c'est faux. Ashton vivait dans un appartement certes pas super grand mais assez pour trois personnes, décoré de manière artistique, il était entouré par l'amour de ses parents. Il reçut une éducation certes bizarre car ses parents n'avaient pas quitté la mode hippie mais il fut éduqué. L'argent? L'argent ne fait pas le bonheur; ils en avaient assez pour vivre, mais pas de trop pour se penser plus heureux que d'autres. Oui ils n'avaient pas besoin de beaucoup plus d'argent et se sentaient très bien tel qu'ils étaient. Ashton allait à l'école comme tous les petits enfants, au début on trouvait bizarre comment sa maman était habillée mais très vite le petit garçon apprit ce qu'était la répartie et avant même de rentrer au collège il était maître dans l'art de remettre les gens à leur place tout en déconnant. Il n'a jamais rien prit au sérieux, pourtant ses parents même hippies étaient quand même responsable; on aurait pu penser que c'est après un tragique accident de son entourage que Ashton ne voulut prendre plus rien au sérieux et profiter de la vie mais non; heureusement pour lui d'ailleurs. Il a juste voulut s'éloigner du schéma typique de « je me prend trop au sérieux, je sais parler de politique avec les vieux » pour aller vers le chemin de la sagesse qui est « pour vivre heureux vivons con » et oui c'est sa phrase à lui .Autant dire qu’il fut môme particulièrement comblé. Candice et Jeremy au delà de leurs querelles habituelles demeuraient des parents exemplaires qui prenaient chaque décision d'un comme un accord. Présent et à l'écoute ils connaissaient les limites à ne pas dépasser et il put ainsi échapper au titre "d'enfant gâté" que l'on aurait aisément pu lui coller à la peau. Oui, son lieu de vie demeurait dès plus agréable néanmoins sa mère fit en sorte que je ne sois jamais noyé sous les cadeaux. Elle était bien moins matérialiste que son père et parvenait à freiner sans trop de difficultés ses ardeurs et de cela il lui en est aujourd'hui particulièrement reconnaissant. Qu'il est dur de vivre lorsque l'on désir sans cesse les possessions du voisin, qu'il est fatiguant, usant de vouloir toujours plus et de ne jamais se contenter de ce que l'on a déjà. L'être humain est bien trop souvent aveugle et ne prend que trop peu la mesure qu'il possède déjà. Cette leçon, se fut sa mère qui le lui l'enseigna et, bien qu’il fut encore un môme dépassant à peine la hauteur de trois pommes cette notion brève du bonheur s'inscrivit clairement dans son esprit pour ne plus jamais le quitter. Grandir... En voilà un mot dénué de sens. Grandir, pour voir s'envoler nos illusions et nos rêves d'enfants, pour voir s'approcher l'instant atroce où vous deviendrez adulte et où,vous, vous rendrez compte, sans doute trop tard, que la jeunesse est derrière vous. A seulement 15 ans il avait déjà conscience de cela et, à l'heure où ses amis parlaient d'avenir et de tous ce qu'ils réaliseraient une fois la maturité atteinte il se disait silencieusement 'mon Dieu, faite que le pas m'épargne et ne file pas trop vite'. Il ne l'a pas écouté bien entendu et l'adolescence fut une dur période de remise en question pour lui. Comme tous jeunes hommes il se cherchait, tâchait de se construire une identité tout en devant accepter les horreurs que la nature lui imposait. Il n'était pas très beau étant jeune, plutôt maladroit et empâté il n'était pas non plus dès plus doué pour se faire des amis alors imaginez la catastrophe avec les filles. Il s'est donc à peu à peu renfermé sur lui-même. Conscience de sa différence, il n'était pas quelqu'un que l'on pouvait appeler conviviale et pendant longtemps l'étiquette de "l'intello de la classe" lui est resté collée aux fesses. Néanmoins, cela ne le dérangeait pas tant que cela. Il se plaisait dans ses livres et il a ainsi pu se consacrer à la pratique de la guitare mais également de la sculpture. Un des nouveaux passes temps de sa mère qui, contre toute attente se permit de le réconcilier avec loi-même. La sculpture, la guitare, les livres mais aussi la composition lui permit de s'exprimer, de libérer cette sensibilité qu'il y avait en lui et, peu à peu, de prendre confiance en lui. Ce fut également à cette époque il fut pris d'un engouement soudain pour le sport. Bien décidé à mettre fin à sa silhouette ingrate il trouvait mon compte dans la pratique de la boxe mais également du footing si bien que le jeune adolescent garçon sans intérêt qu'il était devenu fit peu à peu place à l'homme qu'il était en passe de devenir. Dix huit ans, fin de lycée, début d'une nouvelle ère. Ashton avait changé, sorti de l'adolescence il était devenu un tout autre homme. Les heures d'entrainement avaient payé, ce monsieur toise non loin des 1mètre85 et possède un corps dès plus agréable à regarder. Il fait partie de ces adeptes du sport aussi présente-t-il une musculature merveilleuse sans pour autant être outrancière. Sa silhouette est élégante, solidement charpenté mais ce qui demeure le plus appréciable chez cet homme demeure encore son visage. Il entrait en fac de droits, l'une des meilleures. Il était a Columbia. Il s'était vu accrocher titre de fierté familiale. Mais parfois il souhaitait que tous ses yeux soient braqués ailleurs que sur son parcours. Il restait cette personne calme, qui gardait ses pensées pour elle même. Et pourtant ces études il n'en avait pas besoin et n'avait pas envie de continuer. Passionné par la littérature depuis tout jeune, c'est cette section qu'il a entreprit pour ses grandes études. Il enchaina plusieurs petits boulots : libraire, serveur ect ... Afin de pouvoir continuer ses études. Il termina parmi les premiers de sa promotion, oui Ashton était un bosseur sous ses airs de beau brun ténébreux. On s'était trop longtemps fié a sa jolie gueule, ce qui insupporte particulièrement. Et ce diplôme, lui permettait de reprendre le dessus sur ses préjugés. Il travailla longtemps comme assistant dans une grande maison d'édition New Yorkaise, Marble & March. C'était assez bien payé pour un premier boulot, a vrai dire il avait été sérieusement recommandé par les doyens. Un an après, une proposition d'un poste de direction d'une autre maison a Myrtle Beach. C'est clair que ça n'équivaut pas le M&M mais il n'a pas hésité deux secondes a accepter, les défis il aimait ça. Le changement de cadre était assez important, une cote ensoleillé ou on respirait la vie. Et il faut dire qu'il ne regrette pas vraiment de s’être lancé ce défi.
Dernière édition par C. Ashton Kavannaugh le Lun 8 Aoû - 19:51, édité 2 fois
Bonnie I. Swann
PRINCESS BONNIE « Feel the hate flow into my veins. »