Salut ! Moi, c'est Miléna Yna Romanov mais vous pouvez m'appeler Milan, Milye. Je suis né(e) à Arkhangelsk (Russie) le vingt quatre novembre 1989, j'ai donc vingt deux ans ans. Depuis un petit temps déjà, j'ai remarqué que j'avais une préférence pour les hommes ce qui fait de moi un(e) hétérosexuelle. Je vis à Myrtle Beach depuis deux ans et je dois avouer que je trouve la ville plutôt accueillante et confiné. Sinon, comme tout le monde, il faut faire quelque chose de sa vie, c'est pourquoi je suis entretenue par la fortune de mon père. Je fais sans aucun doute partie des wildsen side.
♣ ET TES VOISINS ILS SONT GENTILS ? ♣ Pour ceux que je connais, oui assez… enfin moi c’est assez nouveau d’avoir des voisins, j’ai toujours vécu loin de la civilisation en raison du métier de mon père… J’étais d’ailleurs amené à lui succéder mais il a fini par redescendre sur terre, les femmes sont beaucoup plus fragiles que les hommes… enfin bref, tout ça pour dire que ça fais plaisir d’avoir des voisins.
♣ FAMILLE, MARIAGE, ENFANTS, QU'EN PENSES TU ? ♣ Le mariage ? C’est jamais quelque chose à laquelle j’ai pensée, ni même les enfants pour tout dire mais Yvan lui a d’autre envie surtout depuis que nos vies sont devenus normale, je commence à me laisser tenter mais je ne voudrais pas aller trop vite, tout ça c’est déjà tellement nouveau pour moi. Je verrais en fonction des événements qui se produise, déjà trouver un travail ça serais pas mal parce-que aller justifier la demeure dans laquelle on habite hein ?
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PSEUDO/PRENOM ϟEmilieÂGE ϟdix sept ansPAYS ϟFrancePRESENCE ϟcinq sur septCOMMENTAIRE SUR LE FORUM ϟil est superbe *-*OÙ AS-TU CONNU LE FORUM ϟBazzart.PETIT PLUS ϟécrire ici.
Dernière édition par Miléna Y. Romanov le Dim 7 Aoû - 18:04, édité 3 fois
« Miléna Yna Romanov » déclara un homme devant une assemblée d’hommes froid chaudement vêtue « это девочка » ou - c’est une fille – pour les moins russes d’entre-nous. Un homme à sa droite se leva alors, il s’approcha dans un silence des plus pesants de l’homme qui avait eu la mauvaise idée d’insulter la fille de leurs parrains, leur dirigeant en d’autres termes. Son bras se leva et dans un mouvement sec et rapide ils retombaient, un coup, puis un second qui heurtèrent directement la tête de ce dernier « le prochain sera enterré dans du ciment. » déclara Zakhar Bogdan Romanov un des parrains de la mafia russe.
1996 - Arkhangelsk, Palace Romanov, 15h00 –
« Yvan, rend-moi ma mitraillette ! » « T’es une fille, va jouer à la poupée. » je le fusillais du regard, croisant mes bras sur mon torse je lui tournais le dos, remontant la longue allée qui me mènerait au Palace Romanov, là où j’ai grandis avec mon père et mon grand-frère. Un palais perdu au fin fond du nord de la Russie. A première vue, tout d’une ville plutôt paisible, mais derrières les murs de ce palais ce passer des choses que personnes ne soupçonne. Après une bonne dizaine de minutes, je poussais les lourdes et grandes portes de ma demeure, se déroulait sous mes yeux une scène plutôt habituelle, dans un coin du hall, masqué à la vue des visiteurs un homme en costume, entre ces mains, des liasses de billets qu’ils comptent puis qu’il range dans une mallette. Puis, des domestiques qui font des allers retour à travers la maison, payé pour entretenir cette immense demeure. J’avançais en courant, cherchant des yeux mon père, le maitre des lieux, le maitre tout court a en croire tout ces gens qui l’écoutent aux doigts et à l’œil. Mon père c’est un mafieux, j’ai jamais su vraiment ce que ça voulais dire, mais je sais que j’ai pas le droit d’en parler… D’ailleurs, à qui voulez-vous que j’en parle ? On me fait l’école à la maison, chaque matins un prof vient et m’enseigne toutes les matières. L’après-midi, je retrouve généralement les fils des collègues de boulots à mon père, parce-que oui au cas où cela ne vous est pas effleuré l’esprit, les femmes n’ont pas leurs places dans ce milieu-là. Si mon père n’avait pas était un parrain de la mafia, je n’aurais certainement jamais connu l’existence de tout cela, au lieu de ça, j’y baignais, constamment.
Je poussais les portes de la salle à manger, lorsque j’apercevais mon père, courant dans l’intention de le rejoindre je criais alors « PAPA ! PAPA ! » Il se retourna, le visage froid et durcit « Милена не сейчас! я работаю » ou –pas maintenant Miléna ! Je travail- je m’arrêtais nette, une moue boudeuse apparaissait sur mon visage tandis que les deux hommes costumés me regardait comme si j’avais commis l’irréparable. « Вы работаете все время » ou –tu travail tout le temps !– il me regarda une ultime fois, je compris à son regard qu’il valait mieux que je n’insiste pas. Mon père était un homme aimant, du moins avec moi il l’était, je ne pouvais pas en dire autant de mon frère qui lui était éduquer à la dure… Il avait toujours mis tant de soin à ce que tous me traite en homme, que je ne sois pas exclue, puisque nous n’avions pas de mère mais lui-même agissait différemment avec moi-même s’il n’en avait pas l’impression. Je tournais les talons et en trainant des pieds je quittais la pièce, le laissant à ses négociations ou autres qu’importe, ses affaires illégales quoi.
1999, Arkhangelsk, palace des romanov, 14h30 –
Aujourd’hui était un jour assez particulier, mon premier jour de tire. Mon père s’était toujours donner un mal fou à ce que je suivre un entrainement similaire aux enfants des autres mafieux, ce qui incluaient l’éducation, primordiale. Venait ensuite l’apprentissage du tire. Au plus grand malheur de nos aînés, nos activités illégales ne pourraient commencer qu’une fois la majorité atteinte. En attendant, ils se contentaient de nous former lorsque le temps leurs permettait, et pour ceux tout les dispositifs étaient déployés. De la simple salle de boxe à la salle de tire parfaitement isolé, digne des plus grands bureaux de police. Mon père avait toujours eu de l’argent coulant à flot, il n’y avait qu’à voir le nombre de caméras dont disposait le palace ou encore, le nombre de gardes postés aux diverses entrés.
J’entrais dans l’immense salle, je regardais autour de moi et très vite une fois de plus, je ne me sentait pas à ma place, autour de moi des tas d’enfant du même âge ou un peu plus grand, telle des soldats rangés minutieusement les uns auprès des autres. Devant eux, un homme qui de toute évidence leurs servait un discours, en russe comme toujours. Mais, je n’y faisais même pas attention, un jeune homme attira mon attention, il était différent des autres. Son regard semblait aussi fuyant que le mien, se demandant bien ce qu’il foutait là… Pourquoi les choix qu’avait jadis fait son père devait avoir une quelconque incidence sur sa vie futur. Il ne tarda pas à me remarquer, je détournais presque aussi rapidement mon regard du sien, mais je remarquais que ses yeux ne cessaient de me fixer. Des cris en russe s’élevèrent dans la salle puis, chacun partais vaquer a son occupation à savoir charger une arme, la tenir, la déchargé et bien entendue, tiré… Pour ceux faire, des cibles, et des points, le cœur, le milieu de la tête de préférence bien évidemment pour provoqué une mort rapide, quand on est mafieux, on ne perd pas son temps en besogne, des hommes à tuer, il y en a à tour de bras, inutile de perdre son temps.
J’attrapais mon arme tandis que je tournais légèrement ma tête, à ma droite, le même jeune enfant que tout à l’heure, il me regardait puis il déclara « ça te plait ? » j’hochais les épaules « je fais ce qu’il plait à mon père que je fasse » il ne me regardait même plus, puis il déclara « si les femmes ne sont pas autorisé, c’est pas pour rien » je chargeais mon arme d’un geste vif « c’est ce qu’on verra. » puis je me détournais de lui et de ses propos sexistes, me dirigeant vers mon stand. Je pointais l’arme en direction de la cible, plissant l’œil pour viser je tiré « une bonne hémorragie cérébrale ! Bande de tarlouse, une fille vise mieux que vous » je me tournais vers ce jeune homme dont je ne connaissais toujours pas le nom, il me souriait alors, sourire que je lui rendais presque aussitôt, tandis que je rougissais légèrement. Lorsque je me retournais, mon père se tenait devant moi ce qui me fit sursauter. Il appuya sa main contre le canon de mon arme, ses sourcils se froncèrent « вы здесь не для этого » ou –tu n’es pas ici pour ça- mon visage restais apeuré quelques seconde face à l’imposante carrure de mon paternelle. Je ne comprenais pas vraiment où j’avais fauté, mais de toute évidence je ne devais pas échanger avec mes camarades. « да отец » ou –oui père-
2004, fôret de Arkhangelsk, 23h55 –
Comme chaque soir depuis près d’un an, je m’en aller le retrouver. Pour ceux, nombreux étaient les obstacles mais jusque-là jamais nous n’avions était pris au piège. Tandis que mon père retrouvaient ses semblables devant un poker tout en comptant leurs délit je quittais la demeure de part le sous-sol où mon père avait fais construit une sortie quelques années auparavant, lorsque vous faites un métier comme le sien, il faut se préparer à toute éventualité, icompris celle qui consiste à prendre la fuite sans que personne ne puisse s’en rendre compte… Cet endroit me servait à retrouver Leyhan, celui dont je m’étais épris. Je l’avais connu à mes dix ans, lors de mon premier court de tire, et nos rapports depuis ce temps-là avaient énormément changé. Je commençais donc par m’engoufré dans les tunnels que je peinais à rejoindre car l’activité dans la maison étant très dense, il était rare qu’une pièce soit déserte et lorsque par miracle c’est le cas, dépêchez vous ça ne l’ai jamais très longtemps. J’avais suivit le chemin, puis au bout d’une bonne vingtaine de minute je ressortais d’une grotte, prêt de l’arbre en face, m’attendais le jeune blond, lorsqu’il m’aperçu un sourire vint illuminer son visage, je courrais en sa direction me jetant dans ses bras, mes lèvres rencontraient ensuite les siennes, tandis que ses mains remontaient mon visage qu’il touchait « mon dieu, tu m’as manqué. » « On est ensemble maintenant, c’est le plus important. » il m’embrassait une nouvelle fois.
Durant de longues heures, nous parlions, nous savions pertinemment que l’heure pour nous de rentré ne tarderait pas à venir, lorsqu’il serait trois heure et demi il serait temps pour l’un comme pour l’autre de partir, partir pour se revoir le lendemain soir, même heure, même endroit, notre endroit. Cependant, cette nuit fut différentes des autres car ce fut la première fois pour l’un comme pour l’autre que nous nous adonnions aux plaisirs de la chaire. Je n’avais jamais ressenti ça avant lui, mon cœur battait à chaque fois que ses mains se posait sur moi, il battait si fort a m’en faire exploser la poitrine…
2006, centre ville de Moscou, 15h00.
« Papa tu me saoul avec ton buisness ! tu m’avais promis qu’aujourd’hui ça serais que toi & moi ! » ralais-je a l’intention de mon père qui n’avais pas lâcher son téléphone depuis que nous avions quitter la maison le matin même pour se rendre à Moscou, la capitale, en vu de me refaire ma garde robe. « PAPA ! » il balayait mes propos de la main, c’était furtif, rapide, sans grand înteret. Près de nous, ses gardes du corps « et on peu pas sortir sans tes larbins là ? non mais excusez-moi mais ça va, on va pas se faire flingué en pleine rue » les gardes du corps rigolaient discrètement « si vous continuez à rigoler c’est moi qui vais vous fusiller. » ils rigolaient un peu plus distinctement cette fois, carrément, il ne s’en cacher même plus, au même moment mon père raccrocha « rigolez, elle tire mieux que vous deux réunis » leurs sourire se glacèrent sur place tandis que je les fusillait du regard l’un et l’autre. « Enfin ! » un groupe d’homme apparaissait en face de nous « papa ! C’est qui eux. » il se stoppa alors avant de se retourner « Belinski Вернувшись домой, сейчас! » Déclarais-il a peine quelques secondes après que son regard se soit déposé sur eux, tandis que l’un de ses larbins me tiraient violement en arrière, l’autre murmurait quelques choses dans son takiwalky je m’écriais « papa ! qu’est ce qui se passe » je le vis alors passer la main sur son arme, tandis que le même larbin m’ayant emporté par le bras me jetait dédaigneusement dans une voiture venant tout juste d’arriver.
Dans la limousine, j’y retrouvais Yvanova, le bras droit de mon père, paniqué je reprenais « qu’est ce qui s’passe ? C’était qui ces gars avec mon père. » « Tu pose beaucoup trop de question » « dis moi ! » un homme à ses côtés abaissa ses lunettes, ils se regardèrent un instant dans les yeux, Yvanova semblait moins paisible que habituellement. « Suffit ! » je retenais mon souffle, comprenant que je n’aurais aucune explication.
Ces hommes-là étaient en faite des rivaux de mon père, bien sûr, je ne l’ai appris que le jour où le malheur c’est abattu sur nos vies, ou du moins sur la mienne… J’étais sorti profiter du manteau blanc s’étant déposé comme chaque année à l’approche de noël sur la Russie… Bien trop occupé à chercher un endroit où je retrouverais une parfaite tranquillité, je n’ai pas prêté attention au fait que j’étais suivis. Et très vite, ma petite escapade se transforma en cauchemars. Ça commença lorsqu’un mot me bloqua les bras avant de passer un mouchoir sur ma bouche, me débattant, j’avais réussi à m’extirper de son emprise, je m’en étais allé courir, toujours plus vite, sans avoir même une idée de l’endroit vers lequel je me dirigeais. Je m’étais très vite retrouvé dans piégé, comme une souris s’étant pathétiquement fais avoir par un bout de gruyère. Je ne me souviens plus de rien après ça, juste qu’un homme m’a attrapé puis, je me suis évanouie enivré par une odeur forte.Lorsque je me réveillais, je me retrouvais dans un endroit parfaitement inconnu, clos, aucune fenêtre, je passais une main dans mes cheveux blond, la panique m’envahissais peu à peu. C’est alors que j’entendais une conversation « on va en faire quoi de cette gamine ? » « S’il accepte on lui rendra sa fille sinon, vous la tuer. En attendant faite ce que bon vous semble… » « Excusez moi mais ici c’est une maison close monsieur, je ne peu pas l’héberger gratuitement » « faites la se prostitué alors. » mon rythme cardiaque s’accélérais brusquement…
Durant trois long mois je fus obligé de me prostitué chaque soirs, j’avais bien tenté de m’échapper mais que vouliez-vous que je fasse ? Je ne savais même pas où je me trouvais… J’avais fini par perdre tout espoir, jamais personne ne viendrais me chercher et je resterais esclave de tous ces porcs jusqu’à ce qu’on décide de m’abattre.
- 29 Décembre 2009, Moscou - Russie
C’était une soirée comme les autres, j’aller vendre mon corps comme je le faisais chaque soir depuis trois mois à des hommes plus horribles les uns que les autres. Bien sûr, j’en avais connu des mignons car dans une maison close seul les plus riches peuvent entrer mais je n’y éprouvais jamais de plaisir, je me sentais sale, j’avais beau me laver encore et encore, rien n’y faisait. La porte s’ouvrit, mes yeux fixés au sol, je sentais les larmes envahir mes yeux, comme chaque soir. « Bonsoir. » je fus comme interpellé, je levais les yeux vers cette voix masculine quelques peu familière « oh mon dieu » il s’approchait de moi, me passant son doigt sur mes lèvres il me murmura « chut. Je vais te faire sortir de là » mes yeux se mirent à briller de joie « comment tu ? » je rigolais légèrement tandis que celui-ci se démener à chercher quelconque sortis « putain ! Y’a rien ici. » « Yvan » il se retourna vers moi, plongeant son regard dans le mien « on en discutera plus tard pour une fois fais ce que je te dis et tait toi. » il semblait froid, mais je le connaissais, il ne mélanger jamais mission et vie privée. Je me contentais de sourire, attrapant sa main le laissant me guider au loin de ma prison.
Après quelques minutes, nous fûmes dehors grâce à un impressionnant stratagème, quelques rues plus loin, une voiture où je découvrais mon père « papa ! » il me serrait alors dans ces bras « je suis désolé » je souriais « j’ai eu tord de penser que tu étais pareil à un homme » mon sourire disparaissait « je suis désolé. » il souriait « ne le sois pas ma chérie, je t’ai privée de tant de choses, mes priorités ne sont pas les tiennes maintenant je vais déglinguer la tête de ce merdeux, quant à toi tu t’en vas. Loin ! Pour que personne ne te retrouve jamais. » « Mais… » « Yvan, je compte sur toi pour prendre soin de ma fille, j’informerais ton père de ta nouvelle affectation. » il s’approcha alors de lui, bombant le torse pour imposé le respect à ses employés, il souriait légèrement, replaçant son manteau « amusant. Ton père avait parié sur Aleksandr, moi sur toi. » Yvan releva la tête « sans vouloir vous manquez de respect, pourquoi moi ? » après tout, mon père n’étais pas au courant de notre relation « votre façon de la regarder. Je sais que vous l’aimez, je ne suis pas un abruti. » il rigola alors. Je souriais discrètement, tandis que j’entrais dans la voiture suivit de Yvan, ne sachant pas un seul instant où j’irais vivre, comment…. Tout ce que je savais c’était que je serais avec Yvan…
Je me suis retrouvée à Myrtle Beach déposant mes valises sur un porche d’une maison grandiose, des gens, des voisins tout ce que je n’avais jamais connu, ma vie à changer du tout au tout si ce n’est une chose Yvan… L’amour le vraie, le fort, celui qui vous aide à surmonter toutes les épreuves.
Dernière édition par Miléna Y. Romanov le Dim 7 Aoû - 17:58, édité 4 fois
Merci à vous deux par contre, il faudrait que vous désactiviez la dernière mise à jour de forumactif concernant les nouveaux membres. parce-que du coup je ne peu pas posté d'image ou lien externe au forum (a)